Mais, en même temps, je me disais que cela ne pouvait durer éternellement et qu’un beau matin je me réveillerais et que toute douleur aurait disparu sans explication. Une nouvelle vie s’ouvrirait alors devant moi, j’en avais la conviction.
Haruki Murakami, Chronique de l’oiseau à ressort (ISBN 2-02-068625-2), p. 129