Telles des poupées mécaniques que l’on posait sur une table et dont on remontait le ressort, les êtres avançaient dans des directions qu’ils n’avaient pas choisies, accomplissaient des actes qu’ils n’avaient jamais souhaités.
Haruki Murakami, Chronique de l’oiseau à ressort (ISBN 2-02-068625-2), p. 728